«Новое платье Леони» kitobidan iqtiboslar
Tu sais à quoi on reconnaît l’homme véritable (...) À ce qu’il n’a pas peur de traiter sa femme en altesse royale… Il sait que sa virilité en sera renforcée et non diminuée.
Ce n’est pas tout d’avoir des armes, encore faut-il savoir les utiliser.
On ne devient pas courageux du jour au lendemain, il faut de l’entraînement.
Il y a des gens qu’on côtoie chaque jour et avec lesquels on ne résonne jamais. Ils sonnent creux.
On n’est jamais fini tant qu’on n’est pas dans la boîte.
La famille, ce sont des mensonges, des omissions, des trahisons qu’on cache sous un autre mensonge, majuscule celui-là : celui de la famille heureuse. Le clan doit tenir debout avant tout.
On ne sait vraiment ce que l’on perd qu’après l’avoir perdu.
Elle ne voudrait être nulle part ailleurs.
C’est ça aussi le bonheur. Quand tout est à sa place et qu’on a son siège réservé.
Le courage est un état gazeux, il s’était dit en passant un peigne dans ses cheveux, un coup de vent et le gaz s’évapore. On est vite dégrisé.
Les femmes ont raison de se rebeller contre les lois parce que nous les avons faites sans elles.